Vous êtes-vous déjà posé ces questions, relatives à la personne vivant avec handicap visuel :

  • Quel péché ces enfants non-voyants ont-ils commis pour mériter ce sort ?
  • Cessent-ils d’êtres humains en naissant ou en devenant aveugles ?
  • Quels droits civiques perdent-ils ?
  • Et qu’y va-t-il de honte à être aveugle ? etc.

Autant de défis n’ont fait qu’enfoncer innocemment la personne déficiente visuelle dans la marginalisation sociale. Pour certains, avoir un enfant aveugle dans la famille est une malédiction, une affaire de honte et de moquerie.

Cela choque et c’est par euphémisme qu’il faut dire : non voyant. Les autres disent que ces personnes qui n’ont jamais vu la lumière, qui n’ont jamais vu les couleurs si ce n’est que le noir, sont invalides, sont de trop. Ces gens dans la ville qui ne vivent que grâce à la mendicité  sont-ils en majorité aveugles ?

Aucune politique d’encadrement n’est mise en place pour accompagner ces enfants jusqu’à leur bien-être et leur autonomisation.